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Ce dernier volet confirme BALLE PERDUE comme la meilleure franchise d’action française en apportant une conclusion spectaculaire à la quête de justice de Lino.

Quelques semaines après MERCATO, LES ARÈNES enfonce le clou : les aspects les plus sombres du foot business font de bons films.

Inspiré d’une histoire vraie survenue en Tunisie en 2015, la chronique de l’assassinat d’un enfant et de ses répercussions dans le cœur de son cousin.

Le réalisateur algérien d’EN ATTENDANT LES HIRONDELLES revient avec L’EFFACEMENT, drame social à la frontière du cinéma de genre.

Retour sur les couvents de la Madeleine par le prisme d’un personnage triste et en colère. La précision de l’écriture et de la mise en scène sert une prestation splendide de Cillian Murphy.

Inattendu premier long-métrage, LITTLE JAFFNA investit un petit quartier pour en faire un grand territoire de cinéma. Une excellente surprise.

Dans l’école roumaine contemporaine, CE NOUVEL AN QUI N’EST JAMAIS ARRIVÉ détone par son humour à froid et son approche très directe de l’Histoire.

La violence des pères, la bêtise des fils, la toxicité des hommes : pour son premier film, l’anglais Christopher Andrews fait montre de rigueur et d’assurance.

Peut-on s’aimer même quand tout est nul ? Une romcom qui décape, menée avec grâce par Hakim Jemili et Laura Felpin. Étonnant.

A24 se lance dans le film familial avec ce premier long, bancal, mais singulier, qui se distingue avant tout pour son esthétique d’antan.

Menacé par une politique culturelle locale saccagée, le cinéma argentin prouve cependant avec ce premier long-métrage qu’il n’a peur de rien.

Après un premier film de réalisateur maîtrisé (AKA), le chef opérateur des deux premiers BALLE PERDUE prend la salle d’assaut, pied au plancher.

Une œuvre austère et envoûtante sur le conflit des générations et le temps qui passe, par un prometteur réalisateur ouzbek.

Pour son cinquième long-métrage, Ryan Coogler choisit le cinéma d’horreur sans renier les problématiques qui l’obsèdent depuis ses débuts. Un film avec du fond, de la forme et des vampires.

De son court-métrage très remarqué, TIMOUN AW, Nelson Foix tire un premier long à la force politique indéniable, sur les pas de la haine ou de la cité de dieu.

Mo Harawe impressionne par l’amplitude de sa narration et une mise en scène subtile et émotionnellement dévastatrice.

Dans les années 90, le voyage mémoriel en Pologne d’une fille et de son père, rescapé des camps et émigré aux États-Unis.

Magnus von Horn revient avec un film noir, sans lumière, sans empathie. Le but – prendre fait et cause pour l’avortement – est louable, la méthode est discutable.

Après LE GANG DES ANTILLAIS, Jean-Claude Barny s’attaque à une autre histoire vraie et raconte quelques années essentielles de la vie du médecin et penseur Frantz Fanon.

Après la déception de n’avoir jamais pu voir PETERLOO en France, on se console avec le nouveau Mike Leigh, chronique à la fois réaliste et outrancière d’une vie amère.

En dépit d’une construction narrative un peu erratique, LE JOUEUR DE GO parvient à incarner efficacement les états d’âme de son héros.

Le réalisateur finlandais de COMPARTIMENT N°6 assemble trois courts-métrages pour un hommage au cinéma muet. Une sortie atypique qui vaut le coup d’œil.

Relecture politique du film catastrophe, MAGMA pose avec un vrai regard de cinéma les bonnes questions. Une belle découverte.

Il y a des films touchés par la grâce et, à n’en pas douter, VERMIGLIO, le deuxième long-métrage de l’italienne Maura Delpero, en fait partie. La claque.

Sur fond joyeux de sapologie, PROSPER est une variation bancale du bodyswap avec un Jean-Pascal Zadi fidèle à lui-même.

Bien qu’il ait déjà deux ans, ce found footage irlandais crée des images particulièrement pertinentes pour notre époque immédiate.

Un agent secret enquête sur ses collègues, dont sa femme. Steven Soderbergh, en très grande forme (au propre comme au figuré) réinvestit le thriller d’espionnage avec appétit.

Comme dans leurs AVENGERS , les frères Russo savent faire des images techniquement irréprochables. Du côté de l’émotion, en revanche…

Pamela Anderson sublimée par Gia Coppola pour un rôle bouleversant de meneuse de revue bientôt au chômage. Une version féminine de THE WRESTLER avec un truc en plumes.

Violée puis abandonnée par les autorités, ostracisée par la société japonaise, une journaliste consigne dix ans de combats dans un documentaire. Remarquable.

Sous ses airs de chronique amusante et amusée, sociale et fantastique, REINE MÈRE tape juste et fort sur le traumatisme migratoire et la manipulation des perceptions.

Un premier long-métrage imposant le style nu et brut de sa jeune autrice, une sino-américaine dont les courts avaient été remarqués.

Deux réfugiés palestiniens font tout pour survivre dans les rues d’Athènes. La mécanique du récit est parfois appuyée, mais ne manque pas de force.

Paolo Sorrentino passe à côté de sa sublime histoire et de son immense personnage.

Le réalisateur de LA BRIGADE DES 800 revient à un cinéma plus intimiste, à la fois revêche et sentimental, enragé et espiègle.